JACK LONDON
Il a passé ses années de formation sur la côte Fylde du Lancashire. Lui et son jeune frère Brian étaient membres du Blackpool Boys 'Club avant de déménager au gymnase de Blundell Street dirigé par le champion britannique des poids mouches Ronnie Clayton. Ses compétences émergentes en boxe ont été perfectionnées pendant le service national dans la RAF, et son excellent palmarès en tant qu'amateur comprenait des victoires sur un caporal de l'armée en devenir, qui deviendra plus tard
l'ennemi juré de son frère, Henry Cooper. Jack et Brian étaient membres de l'équipe de la RAF qui a remporté le championnat de l'Association de boxe inter-services en 1954.
Cet August Jack a fait ses débuts professionnels en battant le Polonais Johnny Zedd au Engineer's Club de West Hartlepool. Il avait, comme son père, adopté le nom de ring de l'auteur et écrivain de boxe américain. En tant que poids léger et lourd, il a échangé des coups avec des adversaires de premier ordre, notamment Ron Redrup, Eric Metcalfe, Noel Trigg et le Sud-Africain Tommy du Preez. Il a affronté Ted Williams six fois de suite, remportant tous les combats sauf le premier.
Jack possédait un style anglais classique, une baguette de la main gauche soutenant une forte croix droite. Interprète plus cérébral que son père ou son frère, il a fondé son succès sur l'habileté, le style et l'art de la bague. Il a remporté un bon pourcentage de ses combats, mais la puissance de frappe plus explosive de Brian lui a donné l'avantage et le statut de tête de liste.
En plus d'être le partenaire d'entraînement de son frère, Jack s'est avéré être un précieux mentor, entraîneur et manager occasionnel. En 1958, il était dans le coin de White City lorsque Brian a imité leur père en prenant les titres des poids lourds britanniques et du Commonwealth à Joe Erskine. Deux ans plus tard, le 29 août 1960, à Coney Beach, Porthcawl, Jack était au bord du ring alors que Brian tentait de prendre le titre européen au héros local Dick Richardson.
Le concours très attendu s'est déroulé en plein air devant 38 000 personnes. Alors que le challenger accumulait les points, au huitième tour d'un concours parsemé de fautes, la tête de Richardson a ouvert une vieille coupure sur l'œil de Londres. Avec son corner incapable d'endiguer le saignement, l'arbitre, Andrew Smythe, a dûment arrêté le combat en faveur de Richardson.
Furieux, Jack et son père se sont précipités à travers le ring pour affronter le camp de Richardson, et Brian les a rejoints. Un chacun pour soi – dans et hors du ring – s'en est suivi, et la police a eu du mal à rétablir l'ordre alors que les poings volaient et que les corps frappaient le sol. La mêlée a été capturée de manière vivante par les caméras de télévision et a confortablement éclipsé l'action du ring précédente; il a été dit que plus de coups de poing ont été lancés après le combat que les têtes d'affiche n'en ont réussi pendant celui-ci. Pendant de nombreuses années, le film de l'événement a été utilisé pour éduquer la police sur les subtilités du contrôle des émeutes.
Lorsque la poussière s'est finalement retombée sur ce qui est devenu connu sous le nom de "la bagarre à Porthcawl", après avoir trouvé Jack London et son père comme les principaux instigateurs, le British Board of Control a infligé une amende de 1000 £ à Brian London et l'a suspendu pendant trois mois. En tant que cavalier, le Board a félicité l'adversaire de London, Richardson, pour sa retenue et sa maîtrise de soi lors du coup de poing de masse.
Ayant connu les difficultés causées par la prodigalité financière de son père, Jack a investi judicieusement ses propres revenus. Avec sa femme Lettie à la tête du vestiaire et lui en charge de la sécurité, le couple était au cœur des lieux de divertissement populaires de Blackpool de son frère. Plus tard, jusqu'à ce qu'il soit submergé par une maladie de longue durée, il a connu le succès en tant que paysagiste.
Les œuvres litteraires de Jack London traitant de la boxe :
En février 1964, Jack fit un retour sur le ring du Tower Circus de Blackpool, battant largement Johnny James. Deux autres victoires ont suivi avant que la défaite contre Lloyd Walford ne le persuade qu'il était temps d'arrêter. Au cours d'une carrière professionnelle qui a englobé 44 combats en 12 ans, il en a remporté 28, en a perdu 13 et en a fait deux nuls, dont un sans concours.
1. LE JEU (1905) Joe et Geneviève font des emplettes pour leur nouvelle vie ensemble lorsqu'ils se marieront dans une semaine. Mais d'abord Joe, qui est une célébrité locale en raison de ses prouesses au Game – la boxe – a un dernier combat à mener avant de s'installer avec Geneviève dans sa nouvelle vie. (15 000 mots). [ 1 ]
2. A PIECE OF STEAK (1909) Un boxeur vieillissant dans les terres lointaines australiennes se prépare pour un grand combat qu'il a désespérément besoin de gagner pour subvenir aux besoins de sa famille sous-alimentée. Mais les temps sont durs, très durs, et il ne peut tout simplement pas avoir le bon morceau de steak dont il sait par expérience que son corps a besoin pour relever le défi de l'arriviste en devenir qu'il s'apprête à affronter (7 600 mots).
3. LE MEXICAIN (1911) Un membre infiltré de la Junte de la Révolution mexicaine qui se prépare à renverser la dictature de Porfiro Diaz a secrètement gagné de l'argent pour la Révolution en boxant après les heures de travail dans le sud de la Californie, et s'engage, à l'insu de son révolutionnaire camarades, dans le plus grand combat de sa carrière dans l'espoir d'apporter à la junte la mise gagnante de 5 000 $, juste la somme dont ils ont désespérément besoin pour lancer leur soulèvement. (9 300 mots).
4. LA BRUTE ABYSMALE (1911) Le narrateur de cette histoire-avec-un-message - que la boxe est une entreprise corrompue - est un manager de boxe qui a été présenté à un jeune géant au talent phénoménal dont le père l'avait entraîné intensivement dans leur cachette dans les bois du nord de la Californie. L'entraîneur jette un regard sur ce géant au talent monstrueux et l'emmène dans un circuit de combats visant à lui donner au plus vite une chance de décrocher le championnat du monde des poids lourds, ce qu'il est pratiquement certain de faire si son manager le peut. seulement organiser le combat.
Palmarès de Jack London
